Un jeune Alésien qualifié pour les Coqs d'Or

Les Coqs d'Or, qu'es aco?

 Il s'agit d'une compétition organisée conjointement par l' ESF et la FFS . Le Ski Open Coq d’Or rassemble les élèves ESF option compétition et des jeunes issus des clubs des sports affiliés à la FFS sélectionnés par leur comité régional  dans une grande épreuve nationale.

L'objectif est bien entendu au travers d'un slalom géant et d'un slalom parallèle d'initier à la compétition de haut niveau, mais également - et  surtout-  de détecter de jeunes talents.

Ce sont cette année  plus de 1 000 jeunes skieurs  qui participent à cette manifestation , et ça fait pas mal de monde !

Parmi eux se trouve cette année notre jeune ami Noam ( champion du Gard dans sa catégorie en 2023)  qui non seulement n'a pas démérité cette saison , mais a réalisé de beaux progrès , ce qui lui a valu d'être sélectionné pour le Comité Cévennes-Languedoc en même temps que Romane , skieuse de son âge issue du SC Laguiole.Il est  donc  en ce moment même à Megève , et tout le monde l'encourage, vas-y Noam!

Et pour lui, ce n'est pas fini :  le week-end prochain il se rend à l'Alpe d'Huez pour la coupe de la FFS , un vrai agenda de membre de l'Equipe de France : ses résultats sont  à suivre dans les jours qui viennent sur  le blog.

Cela dit , le ski est un tout , et il prend en compte les problémes du moment, climatiques  et environnementaux en particulier tant il est vrai  que le réchauffement dû aux pollutions et dégradations diverses impacte directement notre sport.

Cette année ans le cadre du programme Respect, Rossignol partenaire de la manifestation  et l’ESF se sont engagés avec Reforest’Action et ont offert à tous les participants qui prendrons le départ des COQS D’ORS 2022, un arbre à planter dans le cadre d’un projet local de plantation sur la commune de Chirens en Isère. Ce projet qui a pour but de se perdurer sur les 4 prochaines années s’inscrit dans une démarche de responsabilité sociétale et environnementale et aura pour but de reboiser une forêt française, en favorisant les essences variées et locales, et contribuant ainsi à améliorer la biodiversité du lieu tout en luttant contre le réchauffement climatique.

Cela a donné lieu a un fort intéressant article paru dans le Dauphiné Libéré, reproduit ci-dessous: